ALIAGATE Partie 4 – Marie Buard de la fédération F3C coupable de complicité de harcèlement moral et de mise en danger de la vie d’autrui – Jusqu’où va elle aller dans l’aveuglement et le déni ?

Pour les problèmes de santé psychologique, vous avez pu le lire dans le rapport que le psychologue-auditeur explique que les salariés syndiqués ont une certaine pudeur à contacter l’employeur avec qui durant l’année, ils négocient durement, et donc auprès duquel ils ne veulent pas apparaitre faibles.

Aussi le premier réflexe de l’employé syndiqué en cas de souffrance psychiques, est d’abord de demander l’aide à sa Fédération. J’ai découvert que le monde syndical à l’occasion de cette investigation . J’ai donc compris qu’une petite partie de Atos (certains ex-Bull) relève de la fédération CFDT-métallurgie, mais que la plus grosse partie d’Atos relève de la fédération CFDT dite F3C (Communication-Conseil-Culture), même si ça reste obscur pour moi pourquoi il y a besoin de plusieurs fédérations :-).

La responsable de cette fédération F3C est Mme Marie Buard et il semble régner entre cette dernière et Mme Iassamen une très forte proximité, voire quasiment une relation amicale. Marie Buard est régulièrement citée par Mme Iassamen de façon très élogieuse.

Dans la bande son en partie 1, Mme Iassamen dit à plusieurs reprises : « cela a été décidé avec Marie »…. il y a donc beaucoup de  « Marie » par ci, « Marie » par là.

Il faudrait être aveugle (ou plutôt sourd en l’occurrence) pour ne pas comprendre le haut degré de complicité entre Mme Buard et Mme Iassamen , et cela interpelle beaucoup.

D’ailleurs, pour l’affaire Code Ethique, dans la bande-son, Mme Iassamen dit « cela a été géré par Marie et la fédération ».  Tiens « géré par la fédération »??

Donc cela confirme que la fédération a bien eu en main le rapport Code Ethique accablant que vous avez tous pu lire, et ce  16 jours après sa publication, le 24 juillet, rapport dont vous avez tous pu comprendre grace à la bande-son du conseil de liaison qu’il est tout sauf un rapport à charge et que Mme Iassamen a au quotidien un comportement tyrannique, dont le psychologue auditeur compare à un manager opérationnel :

Le mail concernant Philippe Carré rédigé par Alia lassamen montre, quelle que soit la réalité des agissements dénoncés, une méthode particulièrement violente de dénonciation de la personne, inimaginable si ce mail était rédigé par un manager ou un responsable de ressources humaines et diffusé à une équipe de travail.

Il semblerait donc qu’après de multiples plaintes par emails en direct entre 2018 et 2019, malgré un audit indépendant par un cabinet expert en RPS, Marie Buard ne se soucie donc pas que ses coordinatrices ou coordinateurs pratiquent le harcèlement moral et portent atteinte à la santé des délégués syndicaux de la CFDT ATos ??

Pour comprendre le déroulé de ce qui s’est passé dans les jours qui ont suivi la remise du rapport Code Ethique le 8 Juillet 2019 à Philippe Mareine, il est intéressant de relire un article de la Lettre A consacré à ce sujet, avec l’aimable autorisation de la Lettre A.

Je précise qu’un propos de la Lettre A ci-après est partiellement erroné. Il dit que le rapport « a été bouclé par la commission éthique », il faut comprendre : « le rapport a été rendu par un cabinet d’audit en risques psychosociaux à la commission éthique d’Atos. »

 

Que voit-on à postériori dans cet article ?

L’agissement dans l’ombre aux ordres de Alia Iassamen et un soutien inconditionnel de Marie Buard pour dédouaner Alia Iassamen de toute responsabilité ou faute, et de mettre toute l’affaire sur le compte d’une déstabilisation complotiste de la CFDT.

Philippe Mareine est bien allé voir la fédération au sujet du code éthique, mais pas en mai puisque le rapport a été terminé en juillet. Et il est évident que le rapport a sans ambiguïté été transmis à la fédération F3C puisque que le rapport complet que j’ai mis en libre téléchargement porte la mention en gros et en diagonale de chaque page : « Exemplaire préservant la confidentialité remis à la CFDT le 24 Juillet 2019 »

Voici les courriels résumant la visite de M. Mareine à la fédération en mai 2019. Télécharger ici. [pages 175 à 178 du rapport complet].

On notera au passage une manipulation et intimidation immonde vis-à-vis de Mme Longan. Puisque la coordination ment éhontement à Mme Longan en transformant totalement les propos de Philippe Mareine qui AU CONTRAIRE voulait que Mme Longan reste à son poste.

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Puisque le rapport Code Ethique porte la mention « exemplaire CFDT », déjà, « la taupe » qui a courageusement exhumé ce rapport est donc à la fédération F3C, ce qui veut dire qu’en interne l’attitude de complicité, de mise en danger de la vie d’autrui, n’a pas été cautionné par tous les collaborateurs de Marie Buard et qu’ils ont voulu que ce rapport fuite pour ne pas laisser les agissements de Mme Iassamen impunis. Membres de la F3C, n’hésitez pas à me contacter si vous avez des informations. Confidentialité totale garantie.

Bien entendu, Mme Buard va certainement dire qu’il peut s’agir d’un employé de la RH Atos qui a fait fuiter un scan de cette version pour faire croire que la taupe était à la CFDT. Il faudrait l’enquête d’un juge d’instruction, mais quand bien-même serait-ce le cas, cela voudrait dire que chez Atos, des personnes ont trouvé inacceptable, l’étouffement de ce rapport + la corruption active entre la direction d’Atos et Mme Iassamen.

Il y a un moment où la notion syndicat/patronat devient désuète quand la vie de personnes est en danger. Et toute personne sensée qui lit ce rapport Code Ethique comprend que la vie de Mme Christiane Longan était en danger . Je certifie aussi sur l’honneur que plusieurs témoins que j’ai interviewés m’ont rapporté avoir eu des pulsions suicidaires à cause d’Alia Iassamen. Pas concernant M. Deplancke, qui d’ailleurs, contrairement à Alia Iassamen dans la bande son n’a pas de comportement hystérique, mais ont par contre ont bien ressenti des menaces de M. Deplancke.

Les atteintes sur la santé dus aux agissements de Mr Deplancke semblent être un peu moins sévères que celles de Mme Iassamen.

M. Deplancke est décrit comme plus roublard, plus sournois, agissant dans l’ombre et maitrisant mieux ses comportements et son langage que Mme Iassamen (ce n’est pas très difficile, vous allez me dire 😀 )

Parmi les témoins, une personne m’a rapporté, après une rencontre avec la RH de Atos où Mme Iassamen s’était montrée véhémente et violente verbalement, le syndiqué aurait dit à Mme Iassamen « tu n’as pas peur de te prendre une sanction ? ». La réponse a été : « c’est moi qui fais la loi, je n’ai ni Dieu ni Maitre ». Tout est dit sur le personnage…

Nous avons inversé la partie 4 et partie 5 pour d’abord vous expliquer les faits et comment vous expliquer qu’une triste tentative de suicide d’une personne qui avait un role mineur dans le rapport côté accusés, qui avait contesté la version des faits et demandé un contre-interrogatoire à la DRH, contre-interrogatoire bien-sûr accepté et qui a finalement été blanchi, car l’attitude de harcèlement concernait une seule et unique personne et que c’était insuffisant pour que ce soit caractérisé de comportant régulier et répétitif.

Marie Buard et la fédération F3C ont sauté sur l’occasion. Alors que Mme Iassamen et Mr Delplancke ont été convoqués à un entretien préalable de licenciement, suite logique des agissements ayant porté atteinte à la santé de nombreuses personnes, Mme Marie Buard, au lieu de soutenir Atos dans cette démarche et de faire le ménage dans ses rangs, a assigné au pénal Atos, qui a finalement transacté et annulé les deux procédures de licenciements. Comme vous avez pu l’entendre dans la bande-son, Mme Iassamen confirme que « TOUT A ÉTÉ GÉRÉ PAR LA FÉDÉ« , comprendre « par Marie Buard ».

Clairement, selon nos connaissances en droit pénal, Mme Marie Buard encourt une peine de prison ferme pour mise en danger de la vie d’autrui. Et ce à deux titres  :

Au moins une douzaine de personnes entre mai 2018 et mai 2019 on écrit à Mme Buard pour se plaindre des agissements de Mme Iassamen et/ou Mr Deplancke et de l’atteinte de ces agisssements sur leur santé.

J’ai pu consulter ces plaintes. Certaines ont été envoyées une deuxième fois, une troisième fois… Et systématiquement aucune réponse de Marie Buard.

J’ai écrit jeudi 28 à Mme Buard pour lui demander par retour des justificatifs des réponses qu’elle aurait pu faire aux demandes de soutien moral. Un mail, même de 4 ans auparavant, ça se retrouve en 3 mn.

Elle n’a pas souhaité répondre.

J’en conclus donc qu’elle n’a jamais répondu aux victimes. Si l’on considère que dans ce dossier, la F3C joue à la fois le role de syndicat et d’employeur, Mme Buard n’a rien mis en œuvre pour protéger les victimes et pires, le fait de ne pas leur répondre a contribué à aggraver leur état de santé, puisque l’expert-auditeur l’explique bien dans son rapport ; cela crée une sensation d’isolement et d’injustice et accroît le mal-être psychique.

Or, on ne peut pas être à la tête d’une fédération sans avoir eu une formation en prévention des RPS et Mme Marie Buard ne pouvait l’ignorer.

Nous avons écrit, toujours le 28 septembre, à Mme Buard si des mesures disciplinaires avaient été prises afin de démandater Mme Iassamen et M. Deplancke, et s’ils avaient des candidats à proposer au collectif de victimes pour qu’il se  se prononce au préalable sur l’absence d’existence de harcèlement de ces nouveaux candidats. Il ne s’agissait en aucun cas d’ingérence du choix des nouveaux coordinateurs par les DS, mais ayant assisté à des témoignages de syndiqués CFDT ayant eu, encore très récemment, des pulsions suicidaires, il s’agissait de vérifier préalablement, vu l’extrême gravité des faits, que les nouveaux candidats n’aient pas pratiqué de comportements similaires qui auraient été moins apparents parce qu’à des postes sans responsabilités.

Certains d’entre vous qui lisent la partie atos.bourse.blog savent que dès l’annonce du plan de cession à Daniel Kretinsky, j’ai le lendemain initié la création de l’UDAAC, qui en 3 semaines s’est doté d’un bureau, s’est immatriculé en préfécture, ouvert un compte bancaire pour collecter les cotisations et compte désormais 200 actionnaires membres.

Internet permet de fédérer rapidement et je propose donc via le présent blog, d’initier la création d’un collectif de victimes, qui une foi créé sera autonome, donc tout comme l’UDAAC, de servir de HUB de mise en relation des victimes et de manière anonyme au départ, que ces victimes soient toujours employées chez Atos ou non, que ces victimes soient en retraite ou non, que ces victimes soient de la CFDT ou d’autres syndicats, le tout afin de mandater un avocat pénaliste pour porter plainte au pénal et au civil pour réparations, à l’encontre de Mme Iassamen et de Mme Marie Buard.

Quant à M. Deplancke, je dois continuer à étudier le dossier et le contacter (il peut aussi m’appeler via la rubrique contact dans la barre de menu) afin de savoir s’il s’estime avoir été manipulé par Mme Iassamen ou s’il reconnait les faits reprochés.

Pour Madame Iassamen, dont les comportements relèvent évidemment de troubles de la personnalité, il serait question de demander une peine de 6 mois de prison avec sursis, de 50 000€ d’amende, sans préjuger des dommages civils aux victimes pour réparation du préjudice moral qui dépendront de sa solvabilité.

Quant à Mme Buard, il s’agirait de demander 2 ans de prison, dont un an ferme pour le pénal et au civil, de 500 000€ de dommages et intérêts pour réparation du préjudice moral auprès de la fédération F3C à répartir entre les victimes.

Le fait de créer un collectif de victime permettra de mutualiser les frais d’avocats et de prendre un avocat de premier rang.

Pourquoi fais-je cette initiative alors que je ne suis pas salarié Atos?

J’ai moi-même connu des épisodes dépressifs dans ma vie et je sais que la souffrance morale est aussi douloureuse, voire plus douloureuse que la souffrance physique. J’ai moi-même lors de ces épisodes eu des pulsions suicidaires et je sais que  dans ces moments-là le passage à l’acte ne tient qu’à un fil.

Du coup, je me fous d’un caractère légal ou non de ma démarche du moment où l’étouffement de ce rapport a mis en danger la vie de syndicalistes Atos. Je dois même préciser que dans mon investigation, des syndicalistes autres que la CFDT m’ont dit souffrir moralement de la prise d’influence démesurée d’Alia Iassamen au sein d’Atos et du climat de terreur qu’elle fait régner. Alia Iassamen doit donc être démandatée à effet immédiat et licencié après accord de l’inspecteur du travail. Pour ceux qui voudraient entreprendre des démarches immédiates, la bande son peut être téléchargée ici (au cas où le site serait attaqué).

Comme expliqué dans le précédent article, je suis, entre autres, profession médicale, spécialiste des états dépressifs sur lesquels j’ai fait un mémoire d’examen (traitement chimiothérapeutique des épisodes dépressif) et obtenu la note de 19/20 et à cette occasion j’ai reçu une formation sur la prévention des conduites suicidaires et les possibles facteurs déclenchants, afin d’alerter les médecins généralistes. Je rappelle que la fonction de visiteur médical est de visiter les médecins pour leur apporter une formation continue sur les médicaments (en l’occurrence pour mon cas les psychotropes) et que pour visiter les médecins, on est obligé au préalable d’avoir de solides formations dans les domaines en question.

En l’état de mes connaissances approfondies sur la question, j’affirme avec certitude que l’attitude de déni de Mme Marie Buard face aux victimes de Mme Iassamen et sa non-réponse à leurs problèmes, n’a pu qu’aggraver leur état et que c’est un quasi-miracle s’il n’ait pas eu de suicide chez les syndiqués de la CFDT Atos, ou ex-syndiqués. C’est d’ailleurs la seule et unique cause de l’alerte code éthique, l’absence de réponse de la fédération F3C qui a poussé les syndicats dont la santé était altérée à alerter la DRH de Atos. Donc le complotisme machiavéliquement dénoncé par Mme Iassamen vis-à-vis de la direction d’Atos, est au contraire pour une fois une réaction saine de la DHR d’avoir déclenché cette alerte éthique.

Je tiens à rappeler que dans la bande son, Mme Iassamen ACCUSE les victimes de délation sur ordre de la direction. Cette seule et unique accusation de délation de personnes en état de fragilité avancé, en particulier pour Mme Longan est à elle seule une faute lourde valable de licenciement pour négation de souffrance moral et affirmations mensongères et délétères.

Il est donc nécessaire, puisque Marie Buard n’a accepté de fournir aucune réponse, ni justificatif sur le fait que des procédures disciplinaires de démandatement étaient en phase finale, donc une continuation de son attitude de déni de la situation, qu’une plainte pénale soit formée au plus vite pour éviter qu’un suicide évité jusque-là par miracle se produise et que l’avocat pénaliste qui sera choisi par le collectif, informe le ministère du Travail et le ministère des Affaires sociales, afin qu’en plus des sanctions pénales et dédommagements civils, que la fédération, soit mise en demeure de prendre des sanctions disciplinaires à l’encontre de Marie Buard, sanctions qui ne pourraient en l’espèce n’être autre qu’un démandatement et une exclusion de la CFDT pour faute lourde.

J’ai laissé une chance à Mme Buard de se justifier en lui expliquant que si elle acceptait de coopérer en estimant par exemple, avoir été manipulée par Mme Iassamen, le collectif aurait pu être indulgent quant aux mesures à prendre à son encontre. En effet, il arrive que l’on réalise très tardivement qu’on a été manipulé et l’admettre même tardivement peut justifier une certaine indulgence. Si l’on comparait aux actionnaires, le fonds CIAM a voté pour Meunier à l’AG de Juin et dorénavant se bat contre Meunier.

J’ai néanmoins, compte tenu de la gravité de la situation et de risques de conduites suicidaires, demandé une réponse à Marie Buard par retour et avant ce vendredi après-midi.

Comme pour les demandes des victimes de Mme Iassamen entre 2018 et 2019, Mme Marie Buard a fait l’autruche.

Il est donc désormais évident qu’elle a agi de concert avec Mme Iassamen, OU que Mme Iassamen connait comme pour tout le monde des secrets sur Marie Buard, et que le risque que ces secrets soient dévoilés par Mme Iassamen, lui font apparemment plus peur qu’une plainte au pénal… Si c’était cela, ce serait d’un lamentable…

Je lui ai aussi demandé des justificatifs sur le don de 80 000€ versé par Atos à la F3C à cette époque, don qui a été versé uniquement à la CFDT et pas aux autres organisations syndicales, et qui en l’absence d’explication crédible, pourrait s’apparenter à une tentative de corruption ou un package dans la transaction qui a mis fin aux poursuites pénales de la F3C engagées contre Atos pour ingérence et déstabilisation, après la tentative de suicide d’un des syndiqués, impliqué à la marge dans le rapport code éthique, puis blanchit puisqu’il s’agissait d’un cas isolé avec une seule personne.

Je vous tiendrai au courant dans les prochains jours de la mise en place du collectif, je dois au préalable terminer la partie 5, de mes articles pour la compréhension complète des manipulations de Mme Iassamen, article qui sera consacré à l’instrumentalisation odieuse par Marie Buard, Mme Iassamen et M. Deplancke d’une malheureuse tentative de suicide, mais tombé à pic pour les accusés, puisque comme l’a dit le journaliste de la Lettre A, toute cette maltraitance et ce rapport accablant ont accouché d’une souris.

Mesdames et Messieurs les syndicalistes d’Atos, quel que soit votre syndicat, vous aurez vraiment besoin de vous constituer en collectif, car un deuxième combat s’annonce et qui vous a tous affecté depuis une dizaine de jours.

Il s’agit cette fois de dénoncer les agissements frauduleux de Mme Iassamen qui a utilisé l’appareil syndical pour un usage personnel paranoïaque, avec la complicité de Marie Buard et de la F3C pour faire des perquisitions sur les PC d’une trentaine de salariés chez Atos, et confier l’humiliante tâche à Atos via une requête du TJ de Pointoise d’effectuer une mission de police en fouillant les PC des salariés soupçonnés d’être à l’origine d’une alerte.

Cet ALIAGATE est très que compliqué chers lecteurs car vous auriez pu penser que Mme Iassamen se serait faite oublier après ce rappel à l’ordre. Ce serait mal la connaitre. Vous allez comprendre la complexité de la situation.

Convoqué à un entretien préalable de licenciement en 2019, Mme Iassamen se voit finalement attribuer un simple rappel à l’ordre dont elle ne tient pas compte puisque tous mes témoignages sont concordants, ses agissements ont augmenté en intensité et ne sont pas du tout revenus dans l’ordre d’une conduite normale, ce qu’elle s’était engagée à faire.

J’ai omis de préciser que la bande-son que j’ai mise en libre écoute date de mi-février 2022 et donc postérieur au rappel à l’ordre et à l’écoute de cette bande-son, on voit qu’elle continue ses agissements de menaces, chantage et harcèlement.

Vous comprendrez donc mieux pourquoi j’ai demandé à Mme Marie Buard si des sanctions disciplinaires et à minima un démandatement étaient en phase finale.

La bande son dans laquelle Mme Iassamen, fait un chantage explicite sur deux DS, menace et agresse verbalement plusieurs DS est la preuve évidente que Mme Iassamen n’a PAS obtempéré au rappel à l’ordre de la direction et qu’elle est au contraire allée dans une escalade de menaces, chantage et intimidations, et par voie de conséquence qu’elle a aggravé ses comportements de harcèlement moral et qu’il convient urgemment pour la direction d’Atos de ré-ouvrir le rapport code Éthique et de demander un nouvel audit pour recenser toutes les nouvelles victimes depuis juillet 2019.

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CHAPITRE DEUX : CORRUPTION BUARD-IASSAMEN-ATOS

COMMENT APRÈS AVOIR ÉCHAPPÉ DE PEU AU LICENCIEMENT,

MME IASSAMEN VOIT SON SALAIRE MULTIPLIÉ PAR TROIS (x2.8)

 

Mais au fait, pourquoi Atos a dû faire une opération que je qualifie « d’opération de police » ????

Parce que figurez-vous, que Mme Iassamen, au lieu d’être licenciée comme l’avait initialement décidé Atos avec l’accord de l’inspecteur du travail, deux ans après ces évènements (automne 2021) la direction d’Atos au contraire l’a récompensé et a quasiment triplé le salaire de Mme Iassamen, ce qui de l’avis de plusieurs personnes ayant travaillé 25 ans dans l’entreprise, n’est jamais arrivé dans un espace aussi court (2014-2021) de passer de grade G3 à G7.

Il faut donc absolument que le parquet lance une enquête anti-corruption, car si Atos se trouve en grandes difficultés économiques, c’est aussi à cause de ce type de comportements et pour lancer cette enquête, il faut lancer une assignation au pénal, pour corruption (entre autres) afin que le juge d’instruction qui sera nommé ait accès au dossier pour savoir ce qui a motivé cette augmentation et la transaction pour rattrapage salariale pour les années précédentes.

Un lanceur d’alerte, probablement victime d’Alia Iassamen avait dénoncé cette situation qu’il assimilait à fort juste titre à une possible corruption. À ce jour, personne n’a idée sur le lanceur d’alerte.

Le blog avait reporté via un simple copier-coller cette alerte, en précisant que le fait de la publier ne signifiait pas que le blog était en accord avec les propos cités et que le blog donnait tout droit de réponse aux personnes citées et que Mme Iassamen ne nous a jamais contactés pour exercer le droit de démenti que nous lui avions proposé.

Lien vers l’article original : https://atoleaks.bourse.blog/lascension-express-dune-representante-cfdt-atos-cristalliserait-des-tensions-source-employe-atos-lanceur-dalerte/


Voici l’alerte telle qu’elle a été envoyée au blog Atos.Bourse :

 (conformément à la loi N°2022-401 du 21 mars 2022 et précédentes relatives à la protection du Lanceur d’Alerte )
Depuis 2021 , il y a un « conflit d’intérêt » entre la direction ATOS  (M. ESTRADE (ex DRH) ,Mme VERSTRATEN (DRH en poste) et M. TRICAUD (Directeur général France)) d’une part, et la coordinatrice CFDT Alia Iassamen et la fédération F3C-CFDT représentée par Marie Buard, d’autre part.
Après plus de 5 ans d’activités syndicales à plein temps , Alia Iassamen est propulsée CLIENT PARTNER sur le compte LA POSTE en 2021 (poste stratégique et très convoité dans l’activité ATOS) sans aucune expérience ni formation ou référence dans le domaine.
 A cette occasion un avenant a été immédiatement signé permettant une évolution de salaire de 40.000€ à 120.000€ (salaire multiplié par 3 ) et sa position hiérarchique passe du GCM niveau 4 à niveau 7, accompagné d’une transaction de 100.000€.
Pourquoi ce traitement de faveur pour Alia Iassamen ? Alors que des dizaines de salariés méritants attendent des promotions et des augmentations bien moindre.
Quelle est la contrepartie de ce deal ?
Rappelons qu’Alia Iassamen devait être licenciée en 2019 suite à une enquête de conformité interne en application du code éthique ATOS pour harcèlement de certains délégués syndicaux de sa propre organisation syndicale CFDT.
Ainsi, la direction fluidifie le dialogue social avec la coordination CFDT et la fédération F3C-CFDT en achetant la modération du syndicat au détriment des intérêts des salariés ATOS y compris les délégués syndicaux harcelés et dénigrés par Alia Iassamen.
En plus, dans ce deal la fédération F3C-CFDT a touché des sommes substantielles et a négocié un accord avec la direction ATOS pour dispenser et soustraire les coordinateurs CFDT des sanctions résultantes en 2019 de l’application du code éthique ATOS  en vigueur.
Ce règlement essentiel et vital pour le fonctionnement de l’entreprise, pour la crédibilité interne et
externe de l’entreprise  est censé  s’appliquer sans distinction à tous les salariés.
Or, la direction n’a pas pris en compte le rapport de l’enquête et apréféré soudoyer la coordinatrice CFDT au lieu de la sanctionner tout en prenant soin de signer un accord avec la fédération F3C-CFDT pour ne plus utiliser le code éthique contre la coordination CFDT exclusivement.
En contrepartie, la coordinatrice Alia Iassamen  aide et soutient la direction ATOS dans la validation de ses projets et dans la signature des multiples accords !
c’est ainsi que la première organisation syndicale chez Atos s’est mise au service du MEDEF, au détriment des intérêts des salariés.
Après quelques mois dans sa mission opérationnelle, le client LAPOSTE s’est plaint du mode de communication et du comportement d’Alia Iassamen. Elle est sortie de la mission, sans aucun reproche de la part de sa hiérarchie. Ses collègues sur le compte de LAPOSTE se sont également plaints de sa tyrannie et ont passé des mois difficiles en travaillant à ses côtés.
« Pour la remercier », la direction lui a accordée une formation dispensée à l’école POLYTECHNIQUE-X d’un montant conséquent afin de permettre à Alia Iassamen d’intégrer les hautes directions EVIDEN tout en gardant son mandat « très utile pour elle et la direction » de coordinatrice CFDT.
Alia Iassamen pratique des pressions, menaces et représailles sur plusieurs salariés, y compris des représentants de la direction et des élus de sa propre organisation syndicale en toute impunité et aux yeux de tous.
De plus, beaucoup de transfert d’élue CFDT vers eviden sans raison opérationnelle afin d’aider Alia Iassamen dans sa mission.
Pire encore, elle dénigre et insulte ses collègues en mettant en avant le fait qu’elle soit protégée par Mme VERSTRATEN (DRH) et M. TRICAUD (Directeur général FRANCE)
Il est important  d’attirer l’attention sur la gravité des faits qui comportent des préemptions :
– d’emploi fictif CLIENT PARTNER avec une augmentation réelle de 80.000€ par an depuis 2021
– de corruption
– de conflits d’intérêt
– de prise illégale d’intérêt
– d’abus de bien social
– de délit de favoritisme
– de traitement inégal, non équitable et de discrimination des autres salariés notamment par l’application différenciée du code éthique et de la politique d’évolution des salariés.
Ces types de comportements initié avec la complicité et la duplicité de certains dirigeants nuisent gravement aux intérêts de l’entreprise et de ses salariés.
ATOS doit revenir à un fonctionnement sain aussi bien côté direction que côté CFDT dans l’intérêt de l’entreprise et de ses salariés.
Stratégies Hasardeuses de nos décideurs : copinage syndical,trafic d’influence,spinaker,spring,syntel,aral,matisse,scission … jusqu’ici TOUT VA MAL
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Cet email a été retranscrit dans son intégralité, via un simple copier-coller.
En aucun cas il ne signifie que nous cautionnons comme réalité le contenu de l’alerte.
Nous ne sommes pas des journalistes, mais un petit blog, par contre nous supposons que La Lettre A a vérifié la fiabilité des informations avant d’en faire un article, raison pour laquelle nous le publions.
À NOTER QUE LA LETTRE DONNE DES CHIFFRES PLUS PRÉCIS et parle d’un salaire passé de 36300€ à 99800€, soit un peu moins que le lanceur d’alerte.

Nous donnerons libre parole aux personnes qui voudront nous donner des compléments d’informations, des démentis ou des contre-version argumentées, ou tout simplement tout complément d’information utile pour la compréhension par les lecteurs.


Suite à la diffusion de ces informations via la messagerie interne de Atos, Madame Iassamen a déclenché, TOUJOURS AVEC LE SOUTIEN INDÉFECTIBLE DE MARIE BUARD, co-plaignante, une plainte pénale avec requête de perquisition qui a vu plusieurs huissiers débarquer chez Atos et humilier plusieurs dizaines d’employés innocents alors qu’on ne saura jamais qui est ce corbeau.

Cette opération s’apparente plus à une mesure spectaculaire de type « Poutine-Progijine », à savoir faire un exemple et montrer « qu’on ne peut pas s’attaquer à Mme Alia impunément ». Je vous rappelle la phrase prononcé devant témoin par Alia Iassamen : « je n’ai ni Dieu ni maitre » qui peut être un symptôme évident de trouble de la personnalité.

Via cette humiliation collective, il s’agit d’une preuve aggravante, si besoin était, du caractère harcelant permanent de Mme Iassamen, dont on peut aller jusqu’à se demander s’il ne relève pas du trouble de la perversité narcissique, et que cette fois-ci le harcèlement moral, ne va pas seulement à l’encontre de ses subordonnés, mais de tous les syndicats, ainsi que la DHR d’Atos avec l’humiliante tâche pour la DHR Atos de devoir jouer un rôle de police.

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LA PLAINE ET LA REQUÊTE AYANT ENTRAINÉ LES PERQUISITIONS

Il est donc urgent pour vous salariés Atos, vous qui avez été perquisitionné et humiliés, de vous constituer en collectif de victimes et de porter à votre tour plainte au pénal pour violation de la vie privée, recours abusif à la justice, et alerte fondée, puisque TOUS les salariés m’ont confirmé n’avoir jamais vu une telle augmentation qui ne peut que être le résultat de corruption de syndicaliste et il faudra aussi dans ce cas attaquer ATOS SE pour que votre avocat puisse avoir accès à la transaction et à l’avenant d’augmentation salariale, et de demander au parquet de faire nommer un juge d’instruction pour vérifier si l’emploi de « client partner » était fictif ou pas et tous les témoignages que j’ai eus, vont dans le sens d’un emploi fictif ou semi-fictif.

Donc si le parquet missionne un juge d’instruction, toutes les requêtes obsessionnelles de Mesdames Buard et Iassamen, destinées à faire régner un climat de terreur, alors que l’entreprise est fragile économiquement, seront gelées le temps de l’instruction.

Notre prochaine partie, expliquera comment, si Mesdames Buard et Iassamen n’avaient pas instrumentalisé une tentative de suicide fort heureusement ratée, Mme Iassamen aurait été licencié et des dizaines de personnes n’auraient pas connu depuis 2019 de grave atteintes à leur santé et/ou obligé de quitter l’entreprise.

 

Prochaine partie :

En pleine diffusion du rapport Code Ethique, une tentative de suicide tombe à pic et met un terme définitif à ce rapport. Affaire close. Circulez…

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