ALIAGATE Partie 5 – En pleine diffusion du rapport Code Ethique une tentative de suicide « tombe à pic » et met un terme définitif à l’alerte éthique

 

Le 24 Juillet 2019, le rapport Code Ethique est envoyé à la fédération F3C de la CFDT, à Marie Buard qui entre 2018 et 2019 avec reçu plusieurs dizaines d’emails d’appel à l’aide, à propos des comportements d’Alia Iassamen ou à propos de leur santé tout simplement. De l’appel à l’aide. Marie Buard n’a répondu à aucun emails. J’ai pu consulté des relances à plusieurs reprises toutes veines. Il y a un soutient inconditionnel de Marie Buard à Alia Iassamen et un dénit total la souffrance des victimes.

Aucune réaction côté CFDT, essentiellement de l’agressivité vis-à-vis de Mr Mareine DRH monde.

Atos prend ses résponsabilités et décide de licencier Alia Iassamen et Didier Delplancke.

En effet, le rapport est implacable pour Alia Iassamen, harcèlement moral, menaces, chantages, victimisation raciste et sexiste, etc…

Dans une requête récente près le tribunal judiciaire de pontoise, datant de juillet 2023 il y a quelques mois, Alia Iassamen a demandé à la cour de faire fouiller les PC d’une vingtaine de personnes, suite à l’alerte lancée et qui a donné lieu à un article dans la Lettre A « l’ascension express de la coordinatrice CFDT Atos cristallise des tensions ».

Dans cette requête, Alia Iassamen déclare avoir été diffamée par le fait qu’il n’a jamais été question de la licencier.

Madame Alia Iassamen se parjure dans une requête devant la cour.

En effet Alia Iassamen a bien été convoquée à un entretien préalable au licenciement et j’ai pu personnellement m’entretenir avec la personne qui lui a servi d’accompagnateur-assistant durant cet entretien.

Madame Iassamen devait donc effectivement être licenciée. C’est donc une personne qui ment comme elle respire. Comment le savons nous ?

Avant de licencier tout salarié, et qui plus est un salarié protégé qui passe par l’autorisation de l’inspecteur du travail, il y a un délai de réflexion minimal de l’employeur qui je crois est d’un mois.

Et pendant ce mois, il s’en est passé bien des événements.

Dans le rapport code Éthique, vous avez pu voir qu’une troisième personne avec été considéré, à la marge comme ayant pratiqué le harcèlement moral, mais son cas concernait seulement une personne ayant été victime et cette personne décrite comme « agresseur » par le rapport Ethique n’était pas sous le coup d’une menace de licenciement.

Il s’agit cependant d’une personne anxieuse et avec une santé un peu fragile psychiquement et qui dans ses périodes d’anxiété pratique régulièrement la menace au suicide, du type « faut-il que je me suicide pour qu’on me prenne au sérieux ». J’ai lu et en ma possession grosse demi-douzaine d’emails de ce type. Vous en trouverez deux dans la partie ANNEXES à la fin de cet article. Il y a également des témoignages de personne prêtes à témoigner sous serment que ce monsieur a simulé des malaises durant le travail pour mettre en exergue son anxiété.

Le 24 aout, ce délégué syndical de la CFDT dont beaucoup savent le nom, mais que je ne souhaite pas faire mentionner pour ceux qui ne le savent a fait une tentative de suicide et fort heureusement, la tentative est ratée.

Aussi, nous allons devoir parler d’un sujet délicat, et c’est la raison pour laquelle cette partie 5 a un peu trainé.

L’auteur de ces lignes possède un diplôme de visiteur médical et a travaillé pour des laboratoires pharmaceutiques. J’ai passé mon mémoire d’examen sur le thème « le traitement chimiothérapeutique des épisodes dépressifs ». Je certifie sur l’honneur avoir eu la note de 19/20 à ce mémoire et avoir une expertise importante en pathologies psychiatriques. Je certifie avoir également eu une formation sur la prévention des conduites suicidaires et avoir un fort niveau de connaissance en la matière.

Il y a deux types de tentative de suicide. La volonté de mettre fin à ses jours et l’appel au secours.

La différence est la suivante.

1. Dans la tentative de suicide, la personne prend toutes les précautions pour que la tentative réussisse. Dans 85% des cas, fort heureusement la tentative échoue car la personne a des informations très partielles sur la démarche pour arriver au décès.

2. Dans l’appel au secours, la personne n’a pas forcément envie de mourir, mais est à bout du rouleau et souhaite attirer l’attention sur sa souffrance psychique. Ma personne ne se renseigne pas trop sur les certitudes sur risque létal de sa démarche, elle absorbe généralement une plaquette de tranquillisant type xanax qui n’a pas de propriété létales à cette dose.

Dans un style « moins glamour » en cas d’appel au secours par strangulation, la personne appelle un proche qui va immédiatement appeler les pompier et quand il entendra le camion des pompiers dans l’allée de son pavillon, il mettra un petit coup dans son tabouret IKEA et restera en position de strangulation 5 à 10 secondes au plus. Les pompiers ne tergiversent pas, si la porte n’est pas ouverte ils mettent un grand coup de pied dedans ou fracturent la porte-fenêtre. La prise en charge est quasi immédiate et la personne mise hors de danger. La durée de strangulation peut être estimée par une prise de sang avec le taux de CO2.

Si l’acte n’est pas un appel au secours, mais un réel suicide la personne peut quand même échapper au décès, mais c’est assez rare car il faut à la fois un appel ultra-rapide des pompiers et à la fois que les pompiers arrivent dans les deux minutes maximum.

S’il y a une réelle volonté de suicide, du fait de la strangulation, la personne a des troubles cognitifs durant au moins 15 jours.

Or après cet appel au secours, la personne en question, seulement 4 jours après « l’acte » écrit l’email suivant :

De : D, D <dxxx.dxxx@atos.net>
Envoyé : jeudi 29 août 2019 13:09
À :xxx@atos.net>; xxx@atos.net>
Objet : RE: NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER

Ainsi, la responsabilité de l’employeur est engagée lors de chaque manquement à l’obligation de sécurité de résultat pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.

L’employeur n’est pas tenu de trouver des solutions pour faire cesser ce danger s’il ne l’estime pas nécessaire. Toutefois, la notion de faute inexcusable, prévue par les articles L452-1 à 5, du Code de la Sécurité Sociale, pourra être retenu contre lui, si un salarié était victime d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, alors que cette situation lui avait été signalée par le salarié ou les représentants du CHSCT ( art L4131-4 ).

Cordialement

Dxxx Dxxx

Délégué Syndical Central CFDT

Dans cet email, Mr Drici ne semble pas s’inquiéter de sa santé ni faire part de souffrances psychologiques, mais de l’intérêt sur ses droit liés à sa tentative de suicide.

Lorsque l’on interroge des protagonistes de l’affaire, syndicalistes ayant côtoyé la CFDT, les propos sont unanimes que sur le fait que la personne a un profil psychologique un peu perturbé et une personnalité très anxieuse et à fleur de peau.

D’après un nombre important de DS, il a à un moment ou à un autre de son mandat fait du chantage au suicide avec des phrases types « si ça continue comme ça je vais me suicider.

Dans un conseil de liaison de 2020, Alia Iassamen aurait dit selon des ex-DS CFDT : « grâce à Djemel, nous avons évité des ennuis ». Cette phrase est sommes toute très étrange.

Mr Drici, qui n’était pas à sa première tentative, puisque dans une autre affaire de conflit avec un élu, il a usé de la même stratégie, à croire que cela fonctionne bien.

En l’occurrence, l’attitude de Mr Drici,  peut être qualifié d’appel au secours sur le ressenti injuste du caractère de son accusation de harcèlement moral, même si le rapport Code Ethique est sans ambiguïté à ce sujet, selon le psychologue, Mr Drici a pratiqué le harcèlement moral, à une seule personne certes, mais l’a pratiqué. Dans la version complète de la bande audio que je vous ai évité (1h31) on l’entend sans ambiguïté soutenir Alia Iassamen et Didier Deplancke, donc il est clairement dans le clan de deux personnes ayant recours à cette pratique, il y a donc peu de doute qu’il a effectivement pratiqué le harcèlement moral et la victime peu connue pour être affabulatrice.

Le fait de faire un appel au secours, sous une forme grave, n’excuse en aucun cas le harcèlement moral, mais dénote seulement d’une personnalité fragile, qui peut tantôt être agresseur, tantôt en souffrance. Le fait de souffrir soi-même n’excuse pas le fait de faire souffrir les autres. Cela reviendrait à acquitter le violeur parce que lui-même a été violé. C’est au mieux une circonstance atténuante, mais pas disculpante.

Cet « appel au secours » a eu lieu 2 mois environ avant le départ de Thierry Breton à l’EU. Est-ce que cela est remonté jusqu’à lui et a-t-il voulu éviter de partir avec un fait divers dans les médias. La question mériterait d’être posée, mais les faits sont trop anciens.

Finalement cette tentative de suicide-appel au secours va faciliter le sort des 3 accusés et en particulier celui d’Alia Iassamen qui de prédatrice sort victime de l’affaire. « Tout ce rapport code Ethique n’était qu’une manipulation de Thierry Breton ».

Cette tentative de suicide permet à la fédération F3C de déposer une plainte pénale pour mise en danger de la vie d’autrui met le DRH en position d’hésitation dans sa démarche de sanction. On ne le sait pas à l’époque, mais Mr Mareine est aussi proche du départ. Thierry Breton lui est passé de justesse à la mise en examen pour les suicides de France Telecom dont Didier Lombard a été le seul a porté le chapeau. Selon nombre de protagonistes du dossier ce seraient tant les méthodes commencées à être mise en place par Thierry Breton que les pratiques de Didier Lompard qui seraient responsable de ces malheureuses vagues de suicide à France Telecom. Pour la justice, le seul responsable c’est Didier Lompard et Thierry Breton est présumé innocent.

Thierry Breton est à un mois de terminer son mandat pour aller à l’UE. Il a échappé aux suicides France Telecom, il ne veut pas une tache avant de partir. Selon des protagonistes du dossier, il aurait donné son feu vert à Mr Mareine pour faire marge arrière et enterer le rapport Code Ethique. Les procédures de licenciements contre Alia Iassamen et Didier Deplancke sont annulées.

L’étouffement de ce rapport code Ethique est un évènement scandaleux.

Car le fait d’avoir étouffé le rapport code éthique à cause de la simulation de suicide de Mr Drici, aurait pu mettre gravement en danger la vie de Christine Longan qui elle, contrairement à Mr Drici a énormément été marquée dans sa chair et le rapport du psychologue laisse comprendre entre les lignes à toute personne habituée à ce type de rapport que Mme Longan a eu des idées suicidaires.

En résumé d’avoir étouffé le code éthique sous le prétexte de la tentative de suicide simulée de Mr Drici aura mis en danger la vie de Mme Longan.

Mais lorsque l’on va plus en détail, on s’aperçoit que ce simulacre de suicide est presque annoncé.

Dans l’email ci-dessous, on comprend clairement au vu de ce qui est exposé ci-avant que Mr Drici annoncé à l’avance sa pseudo-tentative de suicide et il faut retraiter sa phrase dans le sens suivant « faut-il que je fasse une tentative de suicide pour que vous croyez à ma souffrance ? » on retrouve exactement la notion d’appel au secours sus-décrite et qui malheureusement met en exergue un caractère particulièrement manipulateur de Mr Drici.

Ce caractère manipulateur de Mr Drici apparait dans la description ambiguë des menaces de Mr Carré. Si Mr Drici avait un sentiment de danger il n’aurait pas déposé une main courante mais une plainte. Le recours à la main courante via corroborer l’attitude manipulatrice de Mr Drici.

Être DSC (délégué syndical central) est un poste convoité chez Atos et qui implique d’avoir une force psychique. On ne peut donc pas se prévaloir des qualités pour ce poste et y postuler, et en même temps se plaindre d’être victime de RPS. Les propos de Mr Drici sont totalement incohérents.

Cet article clot la fin des 5 parties de l’affaire Code Ethique et l’on va s’apercevoir que la vie réserve des surprises. Mme Iassamen échappe de justesse au licenciement contrairement à son parjure devant la cour de justice et 2 ans après, presque jour pour jour, elle va entrer dans les annales de Atos pour avoir la plus forte augmentation de l’histoire de la société avec un salaire multiplié en 2 ans de 3.15.

 

ANNEXES

From: DRICI, DJEMEL
Sent: Wednesday, August 21, 2019 4:32 AM
To: MOUTON, CLAUDINE <claudine.mouton@atos.net>
Cc: jmorin@f3c.cfdt.fr; Marie BUARD (mbuard@f3c.cfdt.fr) <mbuard@f3c.cfdt.fr>; ‘l.quintreau@betor-pub.org’; RAFFOLT, NORBERT <norbert.raffolt@atos.net>; CATOIR, DAMIEN <damien.catoir@atos.net>; MAREINE, PHILIPPE <philippe.mareine@atos.net>; GroupComplianceOfficer <GroupComplianceOfficer@atos.net>; Daria Verallo-Borivant <daria.vb@live.fr>; Christophe PAULY (cpauly@f3c.cfdt.fr) <cpauly@f3c.cfdt.fr>; k.meziani@brihikoskas.fr; idf-ut95.uc1@direccte.gouv.fr; communication@defenseurdesdroits.fr; BRUNELLIERE, CAROLINE <caroline.brunelliere@atos.net>; contactavocat@denjeanassociés.com; rk@brihikoskas.fr
Subject: NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER
Importance: High

Mme MOUTON,

Lors de ma convocation le 23 juillet 2019 à 14H00, je vous avais pourtant signalé que j’avais été menacé de mort par Monsieur Philippe CARRE ex-adhérent CFDT (confère main courante ci-joint) et que je ne renouvellerais pas mon mandat de DSC comme annoncé dans mon mail du 7 novembre 2018 à l’ensemble du conseil de liaison CFDT ATOS  à cause de Pascal BESSON adhérent CFDT et Délégué Syndical CFDT (pièces et mails qui seront transmises à la justice) qui m’a mis en souffrance, en RPS qui se répète depuis le début de ma mandature de DSC en décembre 2017 et qui se poursuit crescendo vers plus de violences envers ma personne (nombreux arrêts de travail à l’appui de décembre 2017 à ce jour). Cette main courante ATOS en avait eu une copie, mais vous n’avez pas daigné me protéger, ni enquêter à l’époque où celle-ci vous avez été transmise, ni au moment de la convocation le 23 juillet 2019 sur cette affaire de menace de mort. Aujourd’hui, j’ai d’autres pièces qui contredisent ce que l’on me reproche (Je les présenterais à la justice au moment venu). Ces pièces ont été transmises à ma fédération CFDT et à mon conseil en copie de ce mail.

Que faut-il faire pour être écouter ? Faut-il que je me suicide afin que l’affaire soit mise au grand jour et que l’entreprise comprenne enfin qu’il a été monté une « cabale » contre certains représentants CFDT dont moi ?

Il y a eu des propos racistes, sexistes, des violences verbales et/ou physiques (preuves qui ont été transmises à la fédération CFDT et à mon conseil)  faites par ceux- là même qui crient aujourd’hui au harcèlement moral. Elle est où l’éthique et l’équité ?

Comme je vous l’ai dit dans mon mail du 29/07/2019 : « pour quelles raisons la Direction Ethique et Conformité du Groupe ne m’a pas interrogé sur les faits que vous me reprochez cela aurait permis que je leur présente énormément de pièces et de preuves qui contredisent ce que l’on me reproche, cela s’appelle de la dénonciation calomnieuse qui me cause de la souffrance car vous ne respectez pas l’esprit du contradictoire. Il y a deux poids et deux mesures, cette situation est inadmissible, car vous faites un dossier à charge et non à décharge » (ci-joint mail du 29/07/2019).

Pourquoi l’entreprise ne veut écouter qu’un son de cloche ?. Est-ce le fait que l’ancien représentant CFDT Christian JIL que souhaitait voir la Direction au Conseil d’Administration qui a été promu au même moment au RSE (voir le DAS Atos) se soit rétracté et ait démissionné de la CFDT pour adhérer à la CFE-CGC (cette même personne : Christian JIL qui a dit devant plusieurs témoins que : « pour Philippe MAREINE, Alia IASSAMEN est la femme à abattre ») ? Est-ce le fait que nous n’avons pas signé l’accord sur l’intéressement ? Est-ce le fait que notre coordinatrice adjointe CFDT se soit présentée à l’Assemblée Générale des actionnaires ? Est-ce le fait que nous ayons nous CFDT fait intervenir le défenseur des droits au sujet de propos et de mails d’ATOS qui discriminaient les IRP (preuves à l’appui) ?…… ?

Je n’en dirais pas plus, s’il venait à m’arriver quoi que ce soit je demande à mon avocat et mon épouse de mettre cette affaire (qui est une pure cabale : preuves à l’appui) sur la place publique.

Que comptez-vous faire sur les propos racistes, sexistes, les violences verbales et/ou physiques de la part de certain-e-s ? Que comptez-vous faire au sujet de la souffrance, des RPS et des violences que j’ai subi de la part de Monsieur Pascal BESSON qui m’ont occasionné plusieurs arrêts maladies de 2017 à juillet 2019 et sur les menaces de mort de la part de Monsieur Philippe CARRE (confère main courante) ?

Allez-vous demander à la Direction Ethique et Conformité du Groupe ATOS d’investiguer ? Allez-vous les convoquer comme cela a été le cas pour moi ? ou tout simplement ne rien faire comme cela a été le cas au sujet de la menace de mort de la part de Philippe CARRE ?

Que comptez-vous faire sur les pressions et les violences psychologiques que vous me faites depuis maintenant plus d’un mois avec vos convocations en LRAR pendant nos visites de sites sur toute la France en pleine période de campagne pré-électorale, m’empêchant ainsi d’exercer correctement mon mandat de Délégué Syndical Central CFDT, m’empêchant d’assister aux réunions du Comité d’Etablissement, m’affaiblissant ainsi dans mes tâches de représentant du personnel ?

C’est à cause de vous, des propos calomnieux et diffamatoire de Pascal BESSON et donc d’ATOS qui prête appui, si je suis aujourd’hui en accident du travail depuis maintenant le 30 juillet 2019 car vous m’avez mis dans un état de risques psycho sociaux, de stress et de souffrance psychologique inimaginable avec des idées noires…

Je passe toutes mes nuits à lire et relire tous mes mails, pour voir là où j’aurai commis du harcèlement envers Pascal BESSON mais en vain et au contraire j’ai trouvé des mails et des comptes-rendus qui accablent et compromettent Pascal BESSON (ces pièces seront transmises à la justice), tout ceci me créant un grave préjudice et d’ailleurs je n’ai pu partir en vacances avec ma famille.

L’entreprise ATOS à travers vous me crée des risques psychosociaux (RPS), des violences psychologiques et une très grande souffrance au travail car je suis discriminé dans mes fonctions de Délégué Syndical Central (DSC) par vous, vos méthodes qui ne sont pas équitables avec vos comptes-rendus orientés et tendancieux. Et des propos diffamatoires auquel vous la Direction prêtait appui, sinon pourquoi ne pas m’avoir convoqué lors des entretiens faits par la Direction Ethique et Conformité, si ce n’est de faire un dossier à charge et non à décharge.

Le comble de l’ironie c’est que nous avons en notre possession des mails et des procès verbaux (qui seront transmis à la justice) de la Direction des Ressources Humaines GBU ATOS et de la Direction des Relations Sociales ATOS INFOGERANCE qui nous informent qu’ATOS ne se mêle jamais des affaires internes des Organisations Syndicales et qu’elle ne veut pas prendre part dans les querelles de syndicats…. Nous avions sollicité la DRH GBU ATOS et ce à plusieurs reprises , celle-ci avait refusé d’intervenir ( c’est pour cette raison que je n’avais pas fait intervenir ATOS lorsque Pascal BESSON DS CFDT m’avait créée de 2017 à 2019 de la souffrance, des pressions psychologiques et des RPS. Je m’étais tourné uniquement vers mon syndicat et ma fédération F3C CFDT). Alors pourquoi ATOS se mêle-t-il aujourd’hui des affaires internes de la CFDT ? Quelle est la volonté d’ATOS derrière toute cette affaire ? Que faut-il en déduire ?

Cordialement

Djemel DRICI

Délégué Syndical Central CFDT GBU ATOS

River Ouest

80, Quai Voltaire

95877 Bezons Cedex


De : DRICI, DJEMEL <djemel.drici@atos.net>
Envoyé : jeudi 29 août 2019 13:09
À : ENNADRE, HAKIM <hakim.ennadre@atos.net>; TROGER, GAETAN <gaetan.troger@atos.net>
Objet : RE: NON ASSISTANCE A PERSONNE EN DANGER

Ainsi, la responsabilité de l’employeur est engagée lors de chaque manquement à l’obligation de sécurité de résultat pour assurer la sécurité et protéger la santé physique et mentale des travailleurs.

L’employeur n’est pas tenu de trouver des solutions pour faire cesser ce danger s’il ne l’estime pas nécessaire.  Toutefois, la notion de faute inexcusable, prévue par les articles L452-1 à 5, du Code de la Sécurité Sociale, pourra être retenu contre lui, si un salarié était victime d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle, alors que cette situation lui avait été signalée par le salarié ou les représentants du CHSCT ( art L4131-4 ).

Cordialement

Djemel DRICI

Délégué Syndical Central CFDT

River Ouest

80, Quai Voltaire

95877 Bezons Cedex

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